Au château Guimberteau
Dominique, Jeffery et Jean-Luc trinquent à la santé de leur vin, un lalande-de-pomerol de 2009. (Photo J. F.)
La SCEA du château Guimberteau produit 7 000 litres de Bordeaux
supérieur sur 1,3 hectare. Le vin est commercialisé en cubitainers. Sur
les 350 hectolitres de Lalande-de-Pomerol, 80 % partent chez des
négociants et 20 % sont mis en bouteille et dédiés à la vente directe.
Concernant l’avenir, Jean-Luc Guimberteau admet être prudent : « Nous suivons les directives de près car il est possible que nous soyons obligés de posséder un chai sur l’appellation. Nous serons peut-être contraints d’arracher environ 250 à 300 m2 de vignes pour cette construction, ce qui nous fait mal au cœur. »
Au sujet de la grêle, Dominique Guimberteau fait par de son
inquiétude : « Nous n’avons pas les moyens de dépenser 1 500 euros pour
une assurance anti-grêle, c’est pourquoi nous serions favorables à la
création d’une association de viticulteurs pour assurer en cas de pépin.
La gestion s’avérera difficile pour nous qui passons notre vie dans la
vigne ou le chai. En revanche, si nous étions nombreux, nous pourrions
au moins faire lever un sourcil aux gros assureurs en quête de clients
nouveaux. »
Jacques Ferchaud (Journal Sud-Ouest du 21 août 2013)
Concernant l’avenir, Jean-Luc Guimberteau admet être prudent : « Nous suivons les directives de près car il est possible que nous soyons obligés de posséder un chai sur l’appellation. Nous serons peut-être contraints d’arracher environ 250 à 300 m2 de vignes pour cette construction, ce qui nous fait mal au cœur. »
Jacques Ferchaud (Journal Sud-Ouest du 21 août 2013)
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